Mois : juin 2022

Zapping Autonews BMW X1 (2022) : la nouvelle génération du SUV en vidéo

Rouler dans une Porsche 911 Cabriolet à boîte manuelle, ça fait toujours son petit effet. Alors pour célébrer ce véritable art de vivre ainsi que rendre hommage aux 356 America Roadster et 964 America Roadster, Porsche lance une série spéciale de la 911 type 992 GTS Cabriolet. Elle aussi baptisée America, cette édition adopte une livrée exclusive.

Visuellement, le département Porsche Exclusive Manufaktur offre à cette 911 Carrera GTS Cabriolet America une teinte de carrosserie Azureblue356, qui s’inspire de la 356 America Roadster. La sportive allemande est juchée sur des jantes RS Spyder Design blanche à contour rouge. Un liseré blanc et rouge rappelle le nom de cette édition dans le bas des portes.

Une ambiance intérieur sportive

Lancer le diaporama
Porsche 911 | Les images de l’édition America dérivée de la Carrera GTS Cabriolet (2022)+19

Porsche 911 Carrera GTS Cabriolet America (2022)Credit Photo – Porsche

À bord de la Porsche 911 Carrera GTS Cabriolet America, la firme de Stuttgart propose une sellerie en cuir noir sertie de surpiqûres rouges et grises. Le logo America est embossé sur l’accoudoir central, et les seuils de portes s’illuminent afin de commémorer le soixante-dixième anniversaire de la 356 America Roadster. Le compteur central reçoit un fond blanc, et les ceintures de sécurité sont rouges. Le volant et le levier de la boîte de vitesses arborent eux aussi du cuir noir et rouge grâce à un pack d’options.

480 chevaux transmis aux roues arrière

Lancer le diaporama
Porsche 911 | Les images de l’édition America dérivée de la Carrera GTS Cabriolet (2022)+19

Porsche 911 Carrera GTS Cabriolet America (2022)Credit Photo – Porsche

Sous le capot, c’est le flat-six 3.0 biturbo qui motorise la 911 Carrera GTS Cabriolet America. Le moteur développe toujours 480 chevaux pour 570 Nm de couple. Il est associé à une boîte de vitesses manuelle à sept rapports et une transmission aux seules roues arrière. Pour le reste, cette édition spéciale est équipée du système de suspension active de Porsche, qui abaisse la voiture d’un centimètre. Le système d’échappement sport est également présent, tout comme des roues arrière directrices, ou même des freins céramique-composite.

La date de sortie de la Porsche 911 Carrera GTS Cabriolet America aux États-Unis est prévue pour la fin d’année 2022. Le prix de ce modèle n’est pas spécifié à l’heure où nous écrivons ces lignes. Porsche ne précise pas non plus si cette série spéciale sortira un jour sur le marché français.

En bref

Vraisemblablement cantonnée aux États-Unis, cette nouvelle série spéciale de la Porsche 911 a tout l’air d’un futur collector. Basée sur la version Carrera GTS Cabriolet, l’édition America arbore une teinte de carrosserie spécifique, appelée Azureblue356. Comme son nom l’indique, elle s’inspire de la mythique Porsche 356 America Roadster. L’auto est juchée sur des jantes RS Spyder Design blanches, et reçoit un sticker portant le nom de la série spéciale. L’habitacle adopte quant à lui une sellerie en cuir noire et rouge, aux accents sportifs. La Porsche 911 Carrera GTS Cabriolet America doit être commercialisée à partir de la fin d’année 2022.

L’accélérateur au pouce manque un peu de sensation, ce qui rend plus difficile de juger de la pression nécessaire pour rouler à des vitesses inférieures, par rapport aux vitesses élevées. Bien sûr, si vous appuyez fort, vous accélérerez et maintiendrez une vitesse de pointe, mais à des vitesses inférieures, il peut être difficile de trouver le point idéal si vous essayez de maintenir l’accélérateur enfoncé en tournant.

En mode débutant, c’est moins un problème, mais en mode Normal et Sport, cela a rendu le KS-450 moins contrôlable lors des virages dans des espaces restreints, car appuyer sur l’accélérateur peut faire avancer le scooter. La disposition de la traction avant et le couple envoyé à la roue avant en mode sport contribuent peut-être davantage à cela.

Malgré cet inconvénient, le KS-450 est agréable à conduire. Le mode normal offre un excellent équilibre et vous donne beaucoup de confiance tandis que le sport offre un peu plus de joie de vivre.

Le mode Croisière demande certainement un peu de temps pour s’y habituer. Parfois, vous pouvez vous retrouver à tonner près des 15,5 mph et le mode croisière entre en jeu, ce qui peut être un peu énervant. Merci, il est facile de sortir, ce qui se fait en utilisant le frein ou en appuyant à nouveau sur l’accélérateur.

Y a-t-il quelque chose que je dois considérer avant d’acheter un Eskuta?

Les scooters électriques sont actuellement illégaux sur les routes et les trottoirs publics, ce qui vous empêche de les utiliser uniquement sur des terrains privés. Le gouvernement a révélé son intention de légaliser les scooters électriques, mais il est peu probable que les appareils puissent être utilisés sur la voie publique avant l’année prochaine.

Alors que le KS-450 est conçu pour être plié et transporté, même la conception légère est encore assez lourde: vous ne voudriez pas trimballer cela longtemps. Bien sûr, c’est une esquive à charger dans le coffre d’une voiture, mais vous ne voudriez pas le transporter plus que nécessaire.

Sur cette note, le mécanisme de pliage est très robuste, vous donnant une confiance absolue que le KS-450 ne s’effondrera pas spontanément lorsque vous roulez le long d’une route (privée) à 10 mph. Il vous suffit de découpler les barres de poignée du frein arrière, puis avec un clip, les barres de poignée en place. Facile.

SPORT – Créées en 1923, les 24 heures du Mans existent depuis bientôt 100 ans. Lui n’en a que 16, mais compte bien conquérir le célèbre circuit. Ce samedi 11 juin, l’Américain Josh Pierson va devenir le plus jeune pilote de l’histoire à participer à la mythique course sarthoise, troisième manche du Championnat du monde d’endurance (WEC).

Jusqu’à présent, le titre est détenu par Matt McMurry, originaire de l’Arizona, qui avait 16 ans et 202 jours lorsqu’il a participé en 2014. Précisément âgé de 16 ans et 118 jours (ce qui lui permet d’avoir son permis de conduire depuis quelques semaines ans son État américain), Josh Pierson le détrône de peu. Même si l’écart est très faible, ce record de précocité braque beaucoup d’attention sur le pilote.

La Fédération Internationale de l’automobile (FIA) ne manque d’ailleurs pas de mettre régulièrement en avant “The youngest ever” (le plus jeune de l’histoire). Mais cela ne semble pas mettre quelconque pression à Josh Pierson, au contraire. “Si je suis mauvais, les gens diront que je suis encore en train d’apprendre, et si j’ai de bons résultats, ils seront très impressionnés, affirme-t-il dans une interview publiée sur le site officiel de la compétition. Dans tous les cas, c’est une grande opportunité, et cela ne rajoute pas de pression sur mes épaules.”

“C’est quelque chose de très spécial de participer à cet événement et faire partie de son histoire à un jeune âge (…) c’est un rêve qui devient réalité (…) mais je crois que je suis prêt”, a confié celui qui a commencé le karting à seulement deux ans. 

En mars dernier, le jeune pilote a remporté les 1000 Miles de Sebring, la première manche du WEC, dans la catégorie LMP2. Il a partagé cette victoire avec deux autres pilotes: Paul di Resta et Oliver Jarvis.

Le départ de cette 90e édition des 24 heures du Mans sera donné samedi à 16h avec, pour la première fois depuis le début de la pandémie de Covid-19, une foule immense autour du circuit. 

À voir également sur Le HuffPost: Le skieur Jesper Tjäder bat le record du monde du slide sur rail le plus long

Le 8 juin 2022, le Parlement européen et ses élus ont voté l’interdiction de la vente de véhicules à moteur thermique à partir de 2035. Ces derniers seraient, à terme, remplacés par des moteurs électriques. En Occitanie, l’électrique commence à trouver sa place, en dépit des clichés qui lui collent à la peau.

Le Parlement européen avait un objectif. Il a désormais aussi une ligne de conduite. Dans sa volonté de réduire les émissions de CO2 pour les voitures et camionnettes, l’institution et ses élus ont voté, mercredi 8 juin 2022, l’interdiction de la vente de véhicules thermiques (non-électriques, essence et gasoil) à partir de 2035. 

Pourtant, à treize ans de cette date butoir, difficile d’imaginer le marché de l’électrique prendre le pas sur le thermique, tant les freins ne manquent pas au moment d’acheter des véhicules électriques : des prix élevés, une faible autonomie, des bornes de recharge insuffisantes.

À l’Union, dans la proche périphérie toulousaine, Maurice Brusseau a préféré opter pour un véhicule hybride, comprenez un véhicule mêlant électrique et thermique. Passer directement au tout électrique ? La question ne s’est pas vraiment posée…  « Si vous faites 800 kilomètres (avec une électrique), vous restez en panne » explique-t-il au moment de justifier son choix. 

Vote historique au Parlement européen : les députés se prononcent pour la fin des moteurs thermiques dans les véhicules neufs dès 2035

Cette proposition de la Commission avait été présentée en juillet dernier dans le cadre du #PacteVert #FitFor55 #EUGreenDeal #EPlenary

— Commission européenne (@UEFrance) June 8, 2022

Dans ce même garage, seuls 30 % des 500 véhicules vendus chaque année sont à moteur hybride ou électrique. Si les chiffres évoluent, les craintes des clients sont tenaces. Et des progrès sont encore attendus.

« La tendance commence à s’inverser. L’avenir sera obligatoirement dans l’électrique, estime Vincent Mestdagh, directeur commercial de Renault à l’Union. Pour arriver dans l’électrique, il va falloir que les mentalités changent. Mais ça va venir petit à petit. Il va falloir que le réseau électrique se densifie, et que les autonomies de batterie augmentent, parce que c’est aussi un frein à l’achat d’un véhicule électrique. »

Pourtant, de nouveaux acteurs s’invitent dans la partie. Comme Seres, un constructeur chinois qui a choisi d’installer son siège français à Toulouse. Il propose des véhicules 30 % moins cher que le prix moyen du marché. Pour cette enseigne, l’engouement autour de l’électrique est en net progrès. Thomas Mesnil, le directeur de la communication de Seres France détaille : « Nous avons des réponses aujourd’hui grâce à des applications de voyage qui nous permettent de planifier nos voyages, grâce à la performance des bornes, aux garanties, sur les batteries, à l’autonomie des véhicules qui augmente ».

Dans la région, c’est en Aveyron que le développement forcé de la filière électrique est le plus craint. En effet, à Rodez, c’est tout un pan de l’industrie locale qui est appelé à disparaître. Pour les salariés de l’usine Bosch, spécialisée dans la création de moteurs thermiques, l’interdiction future de ces derniers est un tremblement de terre. Si le premier employeur du département avait déjà tourné la page du diesel, voyant ses effectifs baisser de moitié, cette nouvelle annonce est un énième coup dur. 

« Quand vous avez dix emplois dans les moteurs thermiques, il n’en faut que deux dans le moteur électrique » résume Pascal Raffanel, délégué syndical CFE-CGC. 

Dans un futur proche, les voitures électriques sont donc amenées à remplacer les modèles thermiques, plus polluants. Mais avant cela, un long travail de pédagogie est encore attendu pour convaincre les sceptiques.

Même s’il ne détient pas le record de l’épreuve, propriété exclusive d’Henri Pescarolo (33), sa série donne le vertige et l’envergure de sa carrière de pilote d’endurance.

Ce samedi 11 juin, Romain Dumas prendra pour la 22e fois le départ des 24 Heures du Mans qui, elles, fêteront leur 90e édition.

Prouesse remarquable, le pilote alésien n’a jamais loupé le départ, depuis sa première en 2001, d’une course qu’il a remportée à deux reprises.

En 2010, sur Audi, puis en 2016, avec Porsche, dont il est pilote d’usine depuis maintenant presque deux décennies.

« Quand tu cours en endurance, gagner Le Mans, c’est quand même le truc auquel tu rêves le plus, confiait Romain Dumas, en début de semaine, après avoir enregistré, sur la Glickenhaus 709, le deuxième meilleur temps de la journée test de dimanche, seulement battu par la Toyota n° 7. Et plus que les 22 départs au compteur, ce qui m’intéresse vraiment, c’est d’avoir la chance d’être dans une voiture avec laquelle je peux gagner… »

« En performance, on est dans le coup »

Depuis 2021, l’enfant du pôle mécanique d’Alès roule avec l’écurie de l’Américain James Glickenhaus, réalisateur de films dans les années 80, passionné de bagnoles et « qui est devenu une star des paddocks ! Tout le monde veut se faire prendre en photo avec lui… ».

Les résultats de l’écurie partie de zéro voici deux saisons n’y sont sans doute pas pour rien.

L’an dernier, pour leurs premières apparitions dans la Sarthe, les Glickenhaus se sont classées au pied du podium (4e et 5e), derrière les deux Toyota Hybrid et l’Alpine.

Cinquième avec la 709, Romain Dumas avait remonté sa voiture vers la tête après des premières heures en piste calamiteuses. « Cette année, en performance, on est dans le coup. On n’est pas favoris, mais c’est une édition où on a une chance, qu’il faudra choper !, annonce-t-il avec grand appétit. Il nous faudra réussir un bien meilleur départ. »

Le Cévenol, qui a gagné quasiment toutes les courses d’endurance au monde (Le Mans, Spa, Nürburgring, Sebring, etc. Sacré champion FIA en 2016), n’a pas dit son dernier mot sur les 24 Heures.

Ce qui ne l’empêche pas de préparer l’édition 2023 du Dakar avec son team, RD Limited, et de s’engager, tout récemment, avec Ford, pour un programme de chasse aux records comme il l’avait accompli avec la Volkswagen électrique.

Au Mans ou ailleurs, cet homme ne s’arrête jamais ! « Tant que ça marche et que des projets se présentent… ».

Après une demi-douzaine de clubs cités dans la course à la signature de Ibrahim Sangaré, deux autres géants du championnat anglais rejoignent aussi la liste.

Le milieu de terrain est sous contrat avec le club d’Eredivisie jusqu’en 2025. Sangaré compte 2 buts et 3 passes décisives en 29 matchs de championnat avec les Eindhovens en 2021-22. Le nouvel entraîneur Ruud van Nistelrooij n’a pas envie de se séparer du joueur de 24 ans qui vaut 35 millions d’euros.

En face, ce prix n’effraie pas pour autant les géants d’Europe, à l’instar de ceux de l’élite anglaise. Le mois dernier, on parlait de Leicester City, Newcastle United, Aston Villa et de Liverpool. Maintenant, Sky Sports révèle que Chelsea de Thomas Tuchel et Manchester United de Erik ten Hag sont aussi intéressés par l’ancien joueur de Toulouse.

L’Ivoirien a clôturé une saison réussie avec un trophée de la Coupe des Pays-Bas. Actuellement avec sa sélection nationale de la Côte d’Ivoire, Sangaré a marqué un but lors de leur premier match des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2023. C’était le 03 juin 2022 contre la Zambie à Yamoussoukro.

Manchester United e Chelsea estão interessados em Ibrahim Sangaré, volante do PSV. Sangaré está pronto pra jogar na Premier League na próxima temporada e está confiante numa mudança pra Inglaterra. Ele tem uma cláusula de €35M

@SkySportsNewspic.twitter.com/FC2Bims2GQ

— Red Army Brasil (@RedArmyBrasil) June 8, 2022

Alors qu’il cartonne dans le monde entier avec son nouvel album et avec son single As it was, alors qu’il a aussi entamé une carrière au cinéma et s’apprête à briller dans le film Don’t Worry Darling de sa chérie Olivia Wilde, on imaginait sans peine le sexy boy du moment Harry Styles en Elvis, le prochain film du réalisateur australien Baz Luhrmann. Pourtant il n’en est rien. Mais le cinéaste vient de s’en expliquer.

Invité dans la matinale radio de Nova Sydney, Baz Luhrmann a déclaré : « Harry est un acteur vraiment talentueux, je travaillerais sur quelque chose avec lui… Mais le vrai problème avec Harry, c’est qu’il est Harry Styles. C’est déjà une icône. »

Dans cette interview, on a vite compris qu’il y avait beaucoup de respect entre ces deux-là : « C’est un esprit tellement génial et je n’ai que de bonnes choses à dire sur Harry Styles. Il a raté cette occasion, mais il ne peut pas se plaindre. À l’heure actuelle, il a le doublé aux États-Unis, tandis que « As It Was » est sur la bonne voie pour une dixième semaine consécutive au n°1 du classement officiel des singles du Royaume-Uni. »

Enfin, Baz Luhrmann a également expliqué qu’il ne faisait pas passer de castings. Ainsi, pour son prochain et fort attendu long métrage, il n’a auditionné ni Harry Styles ni Austin Butler – qui a décroché le rôle principal – : « Je fais ces ateliers vraiment riches. Le truc avec Austin, c’est qu’il vous le dira lui-même, je ne l’ai pas choisi, c’est comme s’il était attiré par le rôle parce qu’il était presque né pour jouer le roi du rock ‘n’ roll. »

Elvis arrive en salles ce 22 juin.