Voici le principal d’un post que nous venons de identifier sur le web. Le thème va inévitablement vous ravir. Car la thématique est « l’automobile ».
Le titre (Aux 24 Heures du Mans : 22, v’là Romain Dumas !) parle de lui-même.
Sachez que l’éditorialiste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur internet.
La confiance est de ce fait majeure concernant ce texte.
Depuis 2001, l’Alésien n’a pas loupé une édition de la course dans la Sarthe, qu’il a remportée deux fois, en 2010 (Audi) et 2016 (Porsche).
Même s’il ne détient pas le record de l’épreuve, propriété exclusive d’Henri Pescarolo (33), sa série donne le vertige et l’envergure de sa carrière de pilote d’endurance.
Ce samedi 11 juin, Romain Dumas prendra pour la 22e fois le départ des 24 Heures du Mans qui, elles, fêteront leur 90e édition.
Prouesse remarquable, le pilote alésien n’a jamais loupé le départ, depuis sa première en 2001, d’une course qu’il a remportée à deux reprises.
En 2010, sur Audi, puis en 2016, avec Porsche, dont il est pilote d’usine depuis maintenant presque deux décennies.
« Quand tu cours en endurance, gagner Le Mans, c’est quand même le truc auquel tu rêves le plus, confiait Romain Dumas, en début de semaine, après avoir enregistré, sur la Glickenhaus 709, le deuxième meilleur temps de la journée test de dimanche, seulement battu par la Toyota n° 7. Et plus que les 22 départs au compteur, ce qui m’intéresse vraiment, c’est d’avoir la chance d’être dans une voiture avec laquelle je peux gagner… »
« En performance, on est dans le coup »
Depuis 2021, l’enfant du pôle mécanique d’Alès roule avec l’écurie de l’Américain James Glickenhaus, réalisateur de films dans les années 80, passionné de bagnoles et « qui est devenu une star des paddocks ! Tout le monde veut se faire prendre en photo avec lui… ».
Les résultats de l’écurie partie de zéro voici deux saisons n’y sont sans doute pas pour rien.
L’an dernier, pour leurs premières apparitions dans la Sarthe, les Glickenhaus se sont classées au pied du podium (4e et 5e), derrière les deux Toyota Hybrid et l’Alpine.
Cinquième avec la 709, Romain Dumas avait remonté sa voiture vers la tête après des premières heures en piste calamiteuses. « Cette année, en performance, on est dans le coup. On n’est pas favoris, mais c’est une édition où on a une chance, qu’il faudra choper !, annonce-t-il avec grand appétit. Il nous faudra réussir un bien meilleur départ. »
Le Cévenol, qui a gagné quasiment toutes les courses d’endurance au monde (Le Mans, Spa, Nürburgring, Sebring, etc. Sacré champion FIA en 2016), n’a pas dit son dernier mot sur les 24 Heures.
Ce qui ne l’empêche pas de préparer l’édition 2023 du Dakar avec son team, RD Limited, et de s’engager, tout récemment, avec Ford, pour un programme de chasse aux records comme il l’avait accompli avec la Volkswagen électrique.
Au Mans ou ailleurs, cet homme ne s’arrête jamais ! « Tant que ça marche et que des projets se présentent… ».
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