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Sur le web : Dans les coulisses de l’A13 : les remorqueurs, entre action et gestion des émotions

Voilà qui va vous ravir : Un nouveau post que notre équipe vient de repérer sur le web et que nous vous proposons ci-dessous. La thématique est « l’automobile ».

Son titre séduisant (Dans les coulisses de l’A13 : les remorqueurs, entre action et gestion des émotions) en dit long.

Sachez que le chroniqueur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez en conséquence vous fier aux infos qu’il donne.

L’éditorial a été divulgué à une date notée 2023-07-20 13:16:00.

Voici ll’article :

Voir mon actu
La carrosserie d'Arnaud ainsi que les 3 autres entreprises de dépannage en charge de l'A13 dans les Yvelines réalisent 5 000 interventions par an.
La carrosserie d’Arnaud ainsi que les trois autres entreprises de dépannage en charge de l’A13 dans les Yvelines réalisent 5 000 interventions par an. (©78actu)

Monter dans le camion d’un dépanneur n’augure souvent rien de bon. Pour Lotfi, la journée commence mal. Il est 9 h 30 en ce mercredi de juin quand sa Peugeot 207 décide de rendre l’âme dans une montée de l’A13 peu après Mantes-la-Jolie (Yvelines).

Par chance, il a pu se garer au niveau d’une borne d’appel d’urgence. Le Poste de contrôle d’exploitation de l’autoroute, situé aux Essarts (Seine-Maritime), reçoit l’alerte et missionne un remorqueur. Une semaine par mois, trois employés de la carrosserie Solaire à Ecquevilly (Yvelines) assurent le dépannage sur la partie yvelinoise de l’A13. Et c’est Arnaud qui vient en aide à Lotfi.

Selon les règles imposées par la Société des autoroutes Paris Normandie (SAPN), les remorqueurs ont l’obligation d’intervenir en moins de trente minutes quand il s’agit d’un véhicule léger, une heure pour un camion. Il lui faudra 12 minutes pour arriver sur place.

70 interventions par semaine

« Elle sent bien le chaud votre voiture », constate Arnaud. Ça a l’air d’être un injecteur. » Le remorqueur charge la voiture en deux en trois mouvements puis emmène Lotfi et sa voiture à son dépôt. « C’est une journée galère, peste Lotfi. Mais ça arrive. Surtout quand on roule avec des voitures pareilles. »

Cela fait huit ans qu’Arnaud travaille en tant que dépanneur. Un métier d’action dans lequel il prend « beaucoup de plaisir », hormis quand il est de permanence  de nuit et que son téléphone sonne lorsqu’il est sous la douche. « J’ai travaillé dans les bureaux à La Défense et au bout d’un an, j’ai craqué », avoue-t-il, bien heureux d’avoir aujourd’hui les mains dans le cambouis.

Lui et ses collègues de la carrosserie Solaire réalisent en moyenne 70 interventions par semaine, principalement pour des pannes. Autant d’occasions d’échanger avec les clients malheureux lorsqu’il les ramène à son dépôt.

« Parfois, ça se passe mal. Les gens sont souvent stressés et ont peur de payer cher. Ils deviennent désagréables voire agressifs. Souvent, ils me demandent avant même que j’aie chargé la voiture sur le camion de dépannage : « combien ça va me coûter ? » Ça m’énerve. »

Arnaud, remorqueur sur l’A13.

Une activité essentielle pour le garage

Lotfi, lui, prend cet incident avec philosophie. Son assurance prend en charge la majorité du dépannage. À moindre mal pour ce magasinier qui devra débourser 33 € de sa poche pour qu’Arnaud dépose sa Peugeot chez lui. « Je vais m’en débarrasser et la mettre à la casse », conclut Lotfi. Après 2 h d’intervention, Arnaud retourne à la carrosserie terminer ses papiers administratifs en attendant la prochaine mission.

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Arnaud accroche la voiture de Lotfi à un câble pour la charger sur sa dépanneuse.
Arnaud accroche la voiture de Lotfi à un câble pour la charger sur sa dépanneuse. (©78actu)

Dans l’enceinte du garage, les véhicules accidentés et enlevés par la fourrière se comptent par dizaine. Un amas impressionnant de tôles froissées ou brûlées, signe de l’activité intense de la carrosserie dans le domaine du dépannage.

Tous les cinq ans, l’appel d’offres formulé par la SAPN pour prendre en charge le remorquage sur l’A13 est renouvelé, obligeant l’entreprise à assurer un service de qualité si elle souhaite conserver son activité. « 70 % des véhicules accidentés que l’on remorque restent en réparation dans notre garage, assure le patron, Nicolas Crenleux. S’ils restent, c’est que notre travail est sérieux. » Malgré la pluie de ce mercredi, les interventions se font rares. Quand le bonheur des automobilistes fait le malheur des remorqueurs…

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