En fouillant le web notre équipe a trouvé un post qui va vous ravir. Son propos est « l’automobile ».
Le titre (Bouan. Les journées nationales du Mérens reviennent pour une 90e édition) en dit long.
Sachez que le chroniqueur (présenté sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Cet encart peut par conséquent être pris au sérieux.
Voilà lle « papier » :
La 90e édition de la fête nationale du Mérens aura lieu du vendredi 18 au dimanche 20 août. L’occasion de découvrir la polyvalence de ce petit cheval de selle.
Saut d’obstacles, voltige, attelage… Le cheval de Mérens, originaire de la haute vallée de l’Ariège, fait partie des races les plus anciennes d’équidé. Baptisé le « prince noir de l’Ariège », ce petit équidé est réputé pour sa rusticité, son agilité et son envoûtante robe noire. « C’est un petit cheval assez trapu, qui mesure entre 1m45 et 1m50 au garrot », explique Sophie Alzieu, membre de l’association Société Hippique d’Élevage de la Race Pyrénéenne Ariègeoise (SHERPA). « Il n’y a que cette race de chevaux en France qui possède cette robe noire zinc. Il peut aussi avoir des petites pelotes blanches sur le front, c’est toléré, mais en général, il est complètement noir ».
Adapté aux enfants, ce cheval se distingue notamment par sa robustesse. « C’était à l’époque un cheval agricole, qui est aujourd’hui devenu un cheval de loisirs […]. Il est élevé dans les estives. C’est le cas dans les Pyrénées, mais aussi dans les Alpes ou en Auvergne, où des troupeaux de juments avec leurs poulains y passent quasiment six mois. Cela leur confère une très bonne rusticité. Mais ce sont également des chevaux qui peuvent vivre dehors toute l’année, et qui ont ainsi un pied sûr ».
Ce 18 août, les journées nationales du cheval de Merens s’apprêtent à fêter ses 90 ans. Initiée en 1933 par l’association SHERPA, cette mise à l’honneur existe cependant depuis plus longtemps. « Je crois que le plus ancien évènement remonte à 1907. Mais avec la création officielle du SHERPA en 1933, il s’est transformé en « journées nationales ». Et même si le berceau du Merens est l’Ariège, il existe des éleveurs partout en France ainsi qu’à l’étranger », détaille Sophie Alzieu.
Le cheval de Camargue également mis à l’honneur
Durant les trois jours de la manifestation, des chevaux de Mérens venus de la France entière seront en compétition à travers différents concours (élevage, allure et concours d’utilisations). « Pendant ces journées, nous essayons de montrer par le biais de spectacles toute la polyvalence du cheval de Merens. Cela va de l’épreuve d’éducation pour les plus jeunes, au rallye ou au saut d’obstacles pour les adultes », précise l’agricultrice. « Et chaque année, nous mettons aussi une race dite « de territoire » à l’honneur. Nous avons déjà invité le Castillonnais, l’âne des Pyrénées, et pour cette nouvelle édition ce sera le cheval de Camargue, qui est aussi une race occitane ».
A lire:
À travers l’Inde en automobile/37,Ouvrage .
Droit fiscal/L’évaluation du bénéfice imposable,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
Le Trésor de Mr. Toupie/07,Le livre .
Pour lire en automobile/IV,Le livre . Disponible dans toutes les bonnes librairies.