Mois : janvier 2023

Tata Nexon EV Prime et Max ont été lancés à un prix de départ de Rs 14,49 lakh et la variante Max supérieure monte à Rs 18,99 lakh; les deux prix sont ex-showroom.

La variante Prime reçoit une batterie de 30,2 kWh avec une option de charge de 3,3 kW et le Max abrite une batterie de 40,5 kWh avec une unité de charge de 3,3 kW et 7,2 kW. Le Nexon Prime revendique une autonomie de 312 km et le Max revendique un bon 437 km. Les dernières itérations logicielles pourront être installées chez les concessionnaires les plus proches à partir du 15 janvier 2023.

La liste des fonctionnalités du Nexon Prime comprend phares de projecteur et DRL à LED, démarrage par bouton-poussoir, tableau de bord numérique TFT, régulateur de vitesse, technologie de voiture connectée «ZConnect» avec connectivité smartwatch, système d’infodivertissement Harman et climatisation automatique pour n’en nommer que quelques-uns. La garniture supérieure du Nexon Max comprend des caractéristiques intérieures telles que des sièges en similicuir avec ventilation, un chargeur de smartphone sans fil, un IRVM à atténuation automatique, un purificateur d’air de cabine, un toit ouvrant électrique, un système d’infodivertissement flottant de sept pouces par Harman avec huit haut-parleurs, ainsi que 16 pouces jantes en alliage, contrôle de descente en pente et antenne d’aileron de requin pour n’en nommer que quelques-uns. Les réservations Nexon EV sont ouvertes et les livraisons pour la nouvelle variante Max commenceront à partir d’avril 2023.

Commentant ces nouveaux ajouts, Vivek Srivatsa, Head-Marketing, Sales and Service Strategy, Tata Passenger Electric Mobility Ltd, a déclaré : « Le VE n°1 en Inde, Nexon EV, a terminé sa troisième année couronnée de succès. Il est aimé et approuvé par plus de 40 000 clients et il a parcouru plus de 600 millions de kilomètres. A cette occasion, nous nous engageons à rendre le transport durable accessible à tous, et ce repositionnement est un grand pas dans cette direction. Notre ingénierie intelligente et les incitations gouvernementales nous ont permis de réaliser cette perturbation, en maintenant le même niveau élevé de qualité et de service que nos clients attendent de nous. Avec cela, nous sommes convaincus que de plus en plus de clients passeront à l’e-mobilité.

Histoire : Sumesh Soman

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Du 17 au 22 avril 2023, les plus grands passionnés d’Automobile avec un grand “A” auront l’occasion de découvrir ce qu’il est coutume de surnommer le “musée roulant” du Tour Auto. Après avoir dévoilé, fin novembre 2021, les noms de trois villes-étapes sur les quatre du parcours 2023, Peter Auto révèle le nom de la 4ème ville-étape. Avant l’arrivée à Cannes du 22 avril, c’est finalement un circuit-étape qui est au programme du Tour Auto 2023, ceci le 21 avril avec le circuIt Paul Ricard.

Cannes en “bouquet final” le 22 avril pour une arrivée sur la Croisette donc, comme en 2016 lors de l’édition du 25ème anniversaire du Tour Auto. En 2023, avant de prendre la route vers la Côte d’Azur, les engagés des différents plateaux “Régularité” et “Compétition” ont rendez-vous, le 17 avril, au Grand Palais Ephémère, ceci pour la traditionnelle exposition ouverte au public. Concernant les villes-étapes du Tour Auto 2023, il s’agit de Beaune, Clermont-Ferrand, Valence et du circuit Paul Ricard comme circuit-étape. Ainsi, à partir d’environ 16h00, le 21 avril, sur le célèbre tracé français situé dans la commune du Castellet, les spectateurs pourront assister aux épreuves qui se disputeront jusqu’à la tombée de la nuit. Il sera également possible de profiter du circuit Paul Ricard comme lieu d’exposition des voitures engagées au sein du Tour Auto 2023.

Comme évoqué en introduction, mis à part le circuit Paul Ricard, on connaît également tous les autres circuits qui verront les belles voitures anciennes en action : Dijon-Prenois, Bresse et Charade. Quant aux 10 Spéciales du Tour Auto 2023, elles seront, bien sûr, connues au matin de chaque étape du rallye. Voici, dans son intégralité, l’itinéraire du Tour Auto 2023

ITINERAIRE DU TOUR AUTO 2023 :

– Lundi 17 avril : Paris – Grand Palais Éphémère

• Exposition Ouverte au public de 10h00 à 17h00
• Vérifications techniques et administratives des concurrents.

– Mardi 18 avril : Paris – Beaune

• Départ officiel du Tour Auto 2023 au château de Vaux-le-Vicomte
• Circuit de Dijon-Prenois
• 1 Epreuve Spéciale

– Mercredi 19 avril :  Beaune –  Clermont-Ferrand

• Circuit de Bresse
• 2 Epreuves Spéciales

– Jeudi 20 avril : Clermont-Ferrand – Valence 

• Circuit de Charade
• 2 Epreuves Spéciales

– Vendredi 21 avril : Valence –  Circuit Paul Ricard

• Circuit du Paul Ricard
• 2 Epreuves Spéciales

– Samedi 22 avril : Ville en attente – Cannes

• 3 Spéciales sur route
• Arrivée du Tour Auto 2023 sur la Croisette

Enfin, LesVoitures.com sera, de nouveau en 2023, sur les routes du Tour Auto en accompagnant la Scuderia Classic qui engage sa Fiat 600D (Thomas de Chessé/Margarita Kurtova). Lors de l’édition 2018 du rallye historique organisé par Peter Auto, Thomas de Chessé a déjà piloté sa 600D sur le circuit Paul Ricard (photos de cet article). Rappelons également que Thomas, a accompagné Etienne Bruet (M6 Turbo) lors du Le Mans Classic 2022 sur la CD Peugeot SP66.

La rédaction

Photos : LesVoitures.com

Mais, en ce qui concerne la gamme au moins, plus c’est certainement plus, ce qui est l’une des raisons d’acheter le modèle swoopier. Malheureusement pour Volvo, plusieurs des rivaux du C40 offrent plus de capacité de batterie pour un prix similaire et vous transporteraient de manière plus fiable sur 200 miles et plus entre les charges, quel que soit votre itinéraire et les conditions météorologiques.

Sur la route, la C40 roule avec beaucoup d’accélérations accessibles. Il ne se sent pas hypersensible aux entrées d’accélérateur, et il n’inonde pas ses roues avant avec autant de couple qu’il perturbe très souvent le contrôle de traction ou provoque beaucoup de corruption de la direction. Il est facile à conduire et assuré de caractère. Même autour de la limite de vitesse nationale, cependant, il a une envie de dépassement décente, et à basse vitesse, alors que le freinage régénératif et la sensation de pédale peuvent être un peu incohérents, ce n’est pas une voiture difficile à conduire en douceur.

L’adhérence, l’agilité et le contrôle du corps se combinent pour évoquer l’air de maturité et de modération que vous attendez d’une Volvo et le confort de conduite est généralement bon, avec beaucoup de souplesse hors de la ville et juste un peu de tangage doux et de se vautrer hors de celui-ci, et certains rugissement de surface des roues de 19 pouces sur des surfaces plus grossières.

L’espace passagers de la deuxième rangée est un peu en dessous de la moyenne de la classe, mais toujours suffisant pour les enfants en pleine croissance ou les adultes plus petits. La visibilité arrière est quelque peu compromise, en particulier pour les conducteurs plus grands, qui trouveront qu’ils doivent baisser un peu la tête pour obtenir une vue utile du rétroviseur. Mais la botte du C40 est de bonne taille et bien meublée avec des crochets de transport et autres. La qualité des matériaux de l’habitacle semble assez élevée et la technologie numérique de la voiture est clairement présentée, simple dans son thème et assez facile à naviguer.

Adjoint aux sports à la mairie de Monaco, Jacques Pastor est aussi le président de la Fédération Monégasque de Ski. Moniteur de formation, ce monégasque de 67 ans a mené sa vie autour de ses deux passions : l’amour de la montagne et du sport automobile.

« Me décrire, en deux mots ? Courbe et vitesse, sourit-il. Ce sont les deux mots qui caractérisent le plus ma vie. » Entre la mer et la montagne, entre le ski et le rallye, Jacques Pastor n’a jamais vraiment réussi à choisir.

« Mais pourquoi faire un choix, quand on a la chance d’avoir grandi dans cette magnifique région ? »

À peine le permis en poche, quelques jours seulement après son dix-huitième anniversaire, ce passionné de sport en plein air achète sa première voiture, une Renault 5, « pas turbo non, je n’avais pas les moyens », et décide prendre la direction des stations de ski de l’arrière-pays.

Il a développé et intensifié la pratique du ski à Monaco

« À l’époque, pour un monégasque, c’était assez exotique de faire du ski alpin, se remémore-t-il. Il y a ensuite eu la tradition du bobsleigh, avec le Prince Albert II, mais c’était à peu près tout. »

Skis au pieds, et avec sa devise en tête, « le ski, pour moi, c’est de descendre la montagne en une seule fois le plus rapidement possible avec toujours la pointe des skis vers le bas », Jacques Pastor tombe littéralement amoureux de la discpline, au point de ne plus jamais sans passer.

L’été, j’étais au service de la marine. L’hiver, je montais dans les stations de ski, pour exercer comme moniteur

Jacques Pastor

Diplôme de moniteur en poche au début des années 1980, celui qui reconnaît avec modestie qu’il a « démarré trop tardivement le ski » pour en faire carrière, se prend de passion pour l’enseignement et la transmission.

Jusqu’à ce jour, où aux côtés de son fidèle acolyte de l’époque Patrick Rocher, directeur de l’école de ski monégasque, une idée visionnaire lui traverse l’esprit.

« Nous avons imaginé proposer aux skieurs monégasques un camp d’entraînement directement sur la station pour leur offrir les mêmes conditions et les mêmes avantages que les personnes de la station en restant sur place. »

Trente-et-un an plus tard, Isola 2000, la station du Mercantour à l’ensoleillement garanti et à la neige abondante est devenu la station référence de la Principauté.

Le résultat d’un travail de fond réalisé par Jacques Pastor, président de la Fédération Monégasque de Ski. « Avec le recul, on se dit que ce n’était pas une mauvaise idée ! »

Entraîneur des plus grands espoirs de la Fédération, dont l’olympien Arnaud Alessandria, ce père de deux filles a passé la majeure partie de sa vie à jongler entre Monaco et Isola 2000.

Un rôle d’adjoint aux sports qui lui va comme un gant

« L’été, j’étais au service de la marine (aujourd’hui direction des affaires maritimes), où j’ai gravi les échelons, de canotier à pilote. L’hiver, je montais dans les stations de ski, pour exercer comme moniteur. »

Détaché à temps plein auprès de la Fédération Monégasque de Ski après les Jeux Olympiques de Turin en 2006, Jacques Pastor occupe depuis 2015 un autre rôle : celui d’adjoint au Maire en charge de la délégation sports et loisirs mais également du patrimoine et des traditions.

Quand on naît à Monaco, on est forcément baigné par le rallye et la Formule 1 depuis sa plus petite enfance

Jacques Pastor

« Je suis complètement plongé dans mon élèment, confie-t-il. Le sport à Monaco se porte bien et progresse grâce au travail des associations et de leurs bénévoles, qui se donnent beaucoup de mal pour avancer. »

Un nouveau costume qui lui a également récemment permis de remporter le E-Rallye Monte-Carlo ZENN aux côtés de Fulvio Gazzola, maire de Dolceacqua, au volant de la Kia EV6 de Georges Marsan, le maire de Monaco. « Rassurez-vous, nous l’avons ramené en parfait état ! »

Adepte des activités en extérieurs, en altitude ou au bord de l’eau, Jacques Pastor a aussi une troisième passion dévorante qui a rythmé sa vie : le sport automobile.

« Quand on naît à Monaco, on est forcément baigné par le rallye et la Formule 1 depuis sa plus petite enfance. J’ai des souvenirs lointain où mon père m’amenait voir le Grand Prix de Monaco. J’ai toujours admiré les voitures. » Au point de s’essayer au rallye dans sa jeunesse et de prendre régulièrement part à des courses de karting.

« Mais ce qui m’a vraiment plu, c’est de travailler dans l’organisation, pour vivre les courses de l’intérieur. » Longtemps commissaire au sein de l’Automobile Club de Monaco, Jacques Pastor s’est pris au jeu de l’électrique depuis quelques années.

« Avec le e-rallye, on retrouve les valeurs du rallye de l’époque, avec de belles aventures humaines. » Mais aussi les succès, puisque l’élu monégasque a aussi décroché cette année la Riviera Electric Challenge. Doué sur les skis comme au volant, Jacques Pastor colle parfaitement à sa devise, courbe et vitesse.

« J’ai autant de plaisir à dévaler une piste qu’à faire le trajet en voiture pour monter en station. Les routes enneigés, les paysages, le plaisir du voyage… Je ne pourrai décidément jamais m’en passer. »